Près de trois mois après le résultat des élections législatives, l’insupportable déni de démocratie mis en
œuvre par le président Macron se confirme.
En dépit des mobilisations des salariés, en dépit du résultat des urnes, le président Macron entend coûte
que coûte poursuivre sa politique d’austérité, de remise en cause des droits et garanties collectives,
d’attaque contre les services publics. L’Education nationale n’échappe pas à cette logique.